#ChallengeAZ

Le service des Archives participe cette année au #ChallengeAZ. Un jour une lettre, redécouvrez l'histoire de la Ville et de ses habitants grâce à l'alphabet.

Le Challenge AZ est une manifestation initiée en 2013 et organisée par Sophie Boudarel, généalogiste et auteur du blog La Gazette des Ancêtres. Il consiste à publier un article par jour, pendant le mois de novembre, en suivant les lettres de l’alphabet autour du thème de la recherche généalogique ou de l’histoire locale.

Le service des Archives participe cette année au #ChallengeAZ ! Pendant le mois de novembre, re-découvrez chaque jour grâce à une lettre de l'alphabet l'histoire de la ville et de ses habitants.


A comme Antigone

Voir l'image en grand 19Fi2 - Antigone par elle-mêmeProjet emblématique du premier mandat de Georges Frêche, Antigone marque le début du développement de la ville vers la mer.

Les premiers croquis de Ricardo Bofill ont intégré les collections de la Ville en 2005.

Pour en savoir plus sur ce quartier : ici.

B comme Bazille

Voir l'image en grand H13 Engagements volontaires 1870

Les Bazille font partie de la bourgeoisie protestante montpelliéraine. Ils apparaissent dans les registres de l’Eglise Réformée dès la fin du XVIIIe s. Pour les plus éminents, on retiendra Gaston Bazille, adjoint à l'urbanisme du maire Jules Pagézy (1855-1869) et sénateur de l'Hérault (1879-1888). Son fils, le peintre Frédéric Bazille (1841-1870), tué à 29 ans pendant la Guerre de 1870 est l’un des précurseurs de l’impressionnisme

Retrouvez la généalogie des Bazille réalisée par le Pasteur Paul Romane-Musculus dans les n°8 et 9 du Bulletin Historique de la Ville de Montpellier.

C comme Coutarel

Voir l'image en grand 33Fi243Marius et Elise Coutarel, jeune couple de montpelliérains séparé par la Grande Guerre s'écrit quotidiennement pour se donner des nouvelles du front et de Montpellier.

Lisez leur émouvante correspondance ici.

D comme Demessieux

Voir l'image en grand 4S20 Jeanne DemessieuxA qui sont ces belles jambes ? Compositrice et organiste mondialement connue, Jeanne Demessieux (1921-1968) lègue à sa ville natale journaux intimes, photographies, lettres et partitions.

Une partie de ces documents sont consultables en ligne ici.

E comme Etoile Bleue

Voir l'image en grand 36S181 Etoile bleueA l'origine patronnage fondé en 1916, l'association devient Fanfare et fit la renommée de Montpellier en participant à des concours musicaux internationaux.

A l'occasion du 100e anniversaire de l'association, les membres ont fait dons de leurs archives à la Ville, revivez ce moment (ici)

Ces documents sont aujourd'hui classés, une grande partie des photographies sont consultables en ligne ainsi que des enregistrements sonores.

Vous avez fait partie de l'association et vous souhaitez compléter ce fonds ? N'hésitez pas à nous contacter !

F comme Frêche

Voir l'image en grand R121 au Festival de la Saint-Jean 24/06/1977

Agrégé d'Histoire du Droit, Professeur à l'Université de Montpellier, il est député de l’Hérault (1973-1978, 1986-1993, et 1997-2002), vice-président du conseil régional Languedoc-Roussillon (1973-1986), Président du conseil régional (2004-2010), conseiller municipal de Montpellier (1971-1977), Maire de Montpellier (1977-2004), président du district de Montpellier (1977-2001) et président de la communauté d’agglomération de Montpellier agglomération (2001-2010)

Réveillant "la belle endormie", la physionomie de la Ville va changer pendant sa mandature : Antigone, le Millénaire, Odysséum, etc. et la renommée de Montpellier en France et à l'étranger va s'affirmer grâce à sa politique culturelle : création de festivals (Montpellier-Danse, Radio-France, Cinémed) et développement des infrastructures (Médiathèque Emile-Zola, Musée Fabre, Corum, piscine olympique).

A l'occasion du 10e anniversaire de sa mort, retracez les presque 30 années de son mandat en images et découvrez l'hommage de la Ville sur https://www.deja10ans.fr

G comme Gallix

Voir l'image en grandArchitecte, originaire de l'Ardèche, Marcel Gallix (1880-1972) s'installe à Montpellier dans les années 1920. Son fils, Edouard (1923-2004), et son petit-fils Vincent, prendront la succesion de son cabinet montpelliérain.

La carrière d'Edouard est profondément marquée par le programme de la ZUP La Paillade qui permet d'accueillir les rapatriés d'Algérie et change la physionomie du nord de la Ville.

Vincent et ses frères font don à la Ville des Archives de leurs père et grand-père en 2016.

Découvrez l'arbre généalogique de la famille Gallix et le fonds d'archives (37S).

H comme Habitanage

Voir l'image en grand BB277 actes d'habitanageLes Archives municipales conservent des registres et actes dit d’habitanage couvrant la période 1424-1557 (BB268, BB277-BB278).

Ils recensent les nouveaux arrivants dans la ville qui bénéficiaient d’exemptions fiscales. En effet, pour repeupler Montpellier, les consuls encouragèrent l’installation d’étrangers en les affranchissant de tailles pendant 6 ans.

On dénombre ainsi dans le premier registre (BB278) 404 personnes venant pour la majorité du Massif central et de la région parisienne, mais aussi d’Italie, de Catalogne et d’Allemagne.

I comme II

Voir l'image en grand ii653 Sixain Saint-Mathieu, île Lauriol

Matrice cadastrale sous l'Ancien Régime, les registres de compoix (CC) sont assortis de plans répertoriés dans la série ii.

Ces plans, sans échelle ni métrage, reproduisent les formes et emplacements des parcelles du terroir montpelliérain et indiquent le nom des propriétaires.

Ils permettent de situer les biens bâtis et non bâtis listés par propriétaires dans les registres (manifestes).

J comme Juifs

Voir l'image en grand 5E1 Registre de déclaration des noms de juifsPar décret impérial du 20 juillet 1808, les personnes de confession juive doivent faire constater leur noms et prénoms auprès de l'officier de l'état civil de leur commune. Le décret indique que "ne seront point admis comme noms de famille, aucun nom tiré de l’Ancien Testament, ni aucun nom de ville. Pourront être pris comme prénoms, ceux autorisés par la loi du 11 germinal an XI".

Le registre montpelliérain (5E1) contient la déclaration de 123 personnes.

K comme série K

Voir l'image en grand 1K1 - Liste des électeurs communaux 1831Les listes électorales (1K) sont des documents bien connus des généalogistes. On y trouve des données personnelles élémentaires : nom, prénom, date de naissance, lieu de naissance (après 1900), profession et adresse.

A partir de 1850, on dispose d’une collection continue mise à jour annuellement jusqu’en 1969. Ces listes, exclusivement masculine, ne font apparaître les femmes qu'en 1944, grâce à l'ordonnance du 21 avril qui leur accorde le vote. A Montpellier, elles attendront les élections cantonales du 23 septembre 1945.

A signaler : les listes d'émargements de 1848 (1K596, 1K605-607) qui mentionnent les surnoms portés par les hommes dans les villages du canton.

L comme Lapeyronie

Voir l'image en grand 6Fi419 Statue de LapeyronieFrançois Lapeyronie (1678-1747) donne son nom au CHU de Montpellier et trône à l’entrée de la Faculté de médecine. Généreux bienfaiteur des institutions médicales de la ville.

Il commence sa brillante carrière à Montpellier, où il participe à la fondation de la Société royale des sciences (1706). Installé à Paris à partir de 1715, il devient un proche de Louis XV, anobli sous le nom de Gigot de Lapeyronie, il accède à la fonction suprême de premier chirurgien du roi en 1737.

Il contribue à élever le métier de chirurgien au même rang que celui de médecin. Lapeyronie fait d’importants legs aux Collèges de chirurgie de Paris et Montpellier. Grâce à sa fortune, on bâtit à quelques mètres de sa maison natale, à l’emplacement de l’hôtel Trémolet de Bucelli, l’hôtel Saint-Côme, dessiné par Giral, pour abriter le Collège royal de chirurgie (actuelle Chambre de Commerce et Industrie).

M comme Marie

Voir l'image en grand AA4 Grand ThalamusDernière représentante de la lignée des Guilhem, premiers seigneurs de Montpellier, Marie de Montpellier est aussi la seule femme à avoir dirigé la ville jusqu’au mandat d’Hélène Mandroux (2004-2014).

Née vers 1180, fille unique de Guilhem VIII et de la princesse byzantine Eudoxie Comnène, elle est d’abord écartée du pouvoir au profit de son demi-frère, puis légitimée par les puissances pontificales et royales.

Mariée le 15 juin 1204 à Pierre II d’Aragon, elle apporte en dot à son époux Montpellier et toutes les chapellenies, terres et droits qui relevaient de cette seigneurie (AA4).

Aussitôt après, Pierre et Marie approuvent les coutumes et privilèges de Montpellier.

Elle meurt en 1213 à Rome, alors qu’elle plaide sa cause auprès du pape Innocent III.

Elle est la mère du roi Jacques Ier d’Aragon, né à Montpellier en 1208, et par là l’ancêtre de toutes les familles régnantes européennes.

N comme listes nominatives

Voir l'image en grand 1F3 Listes nominatives de la population 1795En 1791, l’Assemblée constituante ordonne par décret la tenue dans chaque commune d’un registre de population, qui doit être mis à jour chaque année. Ce décret, très irrégulièrement appliqué pendant la période révolutionnaire et l’Empire, tombe finalement en désuétude avec l’apparition des recensements quinquennaux.

Toutefois quelques municipalités, comme Montpellier, continuent à dresser ces listes et crée même un service dédié : les îliers. Montpellier est une des rares villes de France avec Nancy à avoir procédé à des recensements annuels pendant tout le XIXe siècle.

Ces listes nominatives ont fait l'objet d'un classement, l'inventaire est disponible en ligne (ici).

O comme livre d'Or

Voir l'image en grand 3D318 Livre d'orLa venue du Président Millerand à l’occasion des festivités du 7e centenaire de l’université (5-7 novembre 1921) a permis de débuter un livre d’or (3D318) utilisé jusqu’au mandat de Georges Frêche en 1981.

Ont signé le livre d'or : Abert Lebrun, Jean Zay, le Général Charles De Gaulle, Jacques Chaban-Delmas, maires et ambassadeurs des villes jumelles et autres illustres visiteurs.

P comme Paladilhe

Voir l'image en grand 1D50 Délibération relative à Eugène PaladilheLes délibérations, grâce à leur dépouillement et leur indexation, permettent de retrouver les mesures prises en faveur de montpelliérains.

Ainsi grâce au Conseil municipal, le jeune prodige Eugène Paladilhe (1844-1926)  a pu poursuivre ses études au Conservatoire de Paris.

Premier Grand Prix de Rome de composition musicale, il est le plus jeune lauréat de l'histoire de ce concours.

Votre aïeul a peut-être lui aussi fait l'objet d'une délibération du conseil municipal, découvrez-le ! Dépouillement des délibérations du conseil municipal.

Pour en savoir plus sur Eugène Paladilhe, lisez "Un enfant prodige : Emile Paladilhe (1844-1926)" dans le Bulletin Historique de la Ville de Montpellier n°39.

Q comme Quarantaine

Voir l'image en grand GG56 Quarantaine pour la pesteL’épidémie de peste à Marseille en 1720 entraîne de nombreuses mesures visant à freiner la propagation de la maladie dans les provinces alentour : l’établissement de commissaires et d’un bureau de Santé dans chaque ville chef de diocèse, l’interdiction de circuler sans certificat de santé, l’obligation de déclarer les malades, et de nombreuses mesures de quarantaine.

L’instruction du 2 décembre 1721 par le Duc de Roquelaure pour la province du Languedoc précise dans les articles XV et XVI les mesures de quarantaine prévues pour les chirurgiens : après avoir examiné un malade soupçonné d’être contagieux ou avoir découvert lors d’une autopsie le signe de la maladie contagieuse (le terme de peste n’apparaît pas), ils sont placés en « quarantaine de précaution », tout comme « ceux qui auront communiqué avec le malade ».

Retrouvez les mesures liées à la quarantaine dans l'état des fonds relatifs à la médecine (ici)

R comme saint Roch

Voir l'image en grand Statue de Saint-Roch

Selon la tradition saint Roch serait né à Montpellier au XIVe siècle. Avec l'épidémie de choléra en 1854, son culte renait à Montpellier où il connait une dévotion populaire grandissante et donne naissance à la construction d'une église monumentale.

Plusieurs lieux montpelliérains portent son nom : église Saint-Roch, Place Saint-Roch, Gare Saint-Roch, quartier nouveau Saint-Roch, etc.

S comme Sceaux

Voir l'image en grand Louvet 153 revers

Le fonds ancien de la Ville de Montpellier compte un peu plus de 5000 chartes dont la majorité sont scellées de cire ou de plomb. Ce sont aussi bien des sceaux de seigneurs de Montpellier, rois de France, feudataires, papes, cardinaux, évêques, villes et juridictions et sceaux privés.

Le plus ancien sceau remonte au début du XIIIe siècle., il s'agit du Grand sceau des consuls de Montpellier.

L'archiviste Oudot de Dainville dessine chacun de ces sceaux et les publie dans l'inventaire de sceaux conservés dans les Archives en 1952. Après ce magnifique travail qui pris près de 2000 heures, les archives poursuivent son oeuvre en mettant en ligne les images numérisées des sceaux.

Consultez ici les 48 premières notices.

 

T comme Théâtre

Voir l'image en grand 3Fi21En 2018, le théâtre municipal Opéra Comédie fêtait son 130e anniversaire. Tout au long de l’année, les Archives municipales ont proposé chaque mois un document retraçant son histoire, la carrière des musiciens montpelliérains et des événements marquants de la vie musicale montpelliéraine.

Re-découvrez cette exposition en ligne (ici).

U comme Urbain

Voir l'image en grand AA9 Petit Thalamus folio 117Très attaché à Montpellier, le pape lozérien Urbain V (1362-1370) fait bénéficier la ville de ses largesses, et la chronique municipale du Petit Thalamus s’en fait l’écho.

Chacune de ses visites, comme ici en janvier 1370, est relatée en détail.

Dès son accession au pontificat, il fait bâtir un vaste monastère intra-muros sur le modèle du palais des papes d’Avignon, aujourd’hui cathédrale Saint-Pierre et Faculté de médecine, qu’il dote de reliques et d’objets précieux.

Les armes du pontife ont été dessinées dans la marge du registre.

V comme Voirie

Le 5 juillet 1944, l'aviation anglo-américaine bombarde la gare de triage des Prés d'Arènes pour atteindre un convoi de soldats allemands. Pendant plusieurs heures 975 bombes sont larguées faisant 53 morts et plus de 80 blessés parmi les civils, 64 immeubles sont complètement détruits et de nombreux autres endommagés. Une aide alimentaire se met en place pour aider les Montpelliérains.

Le service de la Voirie effectue un reportage photographique des dégâts. Initialement réalisé pour les besoins du service, il est aujourd'hui un témoignage de cette catastrophe peu connue du grand public.

Bombardement du 5 juillet 1944

W comme Wesel

Jan de Wesel, peintre bruxellois, effectue régulièrement des travaux de décoration pour les consuls de Montpellier à partir de 1617.

Il réalise des tableaux-portraits en 1624 et 1626. Sur fond brun, dans le goût flamand, les silhouettes des consuls se détachent, vêtus de leur grand manteau rouge, mains gantées et chapeau noir à la main.

La série de portrait réalisée par Wesel est la seule à indiquer l'année, le nom, l'âge, la qualité et les armoiries des consuls :

- Pierre de Fons, seigneur de Sabatier (1er consul)

- Antoine Coste, procureur en la Cour des Aides (2ème consul)

- Pierre Lamouroux, marchand drapier (3ème consul)

- Jean Creyssel, marchand (4ème consul)

- Noé Douziech, contrôleur au bureau de la foraine (5ème consul)

- Jean Cabassut, maître cordonnier (6ème consul)

et Jean Fesquet, greffier et secrétaire de la maison consulaire.

Portraits des consuls par Jan de Wesel

X comme Xavier

Voir l'image en grand 5S210 Tombeau Louis-Xavier de RicardLouis-Xavier de Ricard (1843-1911), poète, écrivain et journaliste, éditeur de la Revue du Progrès, il publia le premier poème de Verlaine.

Il s'installe à Montpellier et collabore à des journaux locaux (Petit Méridionnal, la Dépêche du midi). Il meurt à Marseille en 1911. Dès 1913, une demande d'attribution de concession est formulée auprès de la mairie. Ce n'est finalement qu'en 1932 que l'hommage se concrétisera sous la forme d'un cénotaphe au cimetière Saint-Lazare.

Marcel Bernard, architecte, est chargé de la conception du monument et Guigues, scultpeur, de la réalisation (5S210)

 

Y comme Young

Voir l'image en grand D2011.0.16 Musée du vieux Montpellier Tombeau de NarcissaNarcissa Young est à l'origine d'une légende chère aux Montpelliérains, qui veut que le Jardin des plantes abrite son tombeau. Fille du poète anglais précurseur du romantisme, Edward Young (1683-1765) et malade de consomption, Narcissa serait morte à Montpellier, où on lui aurait refusé une sépulture dans le cimetière catholique en raison de sa religion protestante. En réalité, c’est sa belle-fille que l’auteur des Nuits a perdu en allant vers le Midi de la France : Elizabeth Temple morte à Lyon le 8 octobre 1736 et enterrée discrètement dans le cimetière de la colonie suisse, contigu à l’Hôtel-Dieu.

Quoi qu’il en soit,  cette légende suscita, à travers les siècles, aussi bien la polémique (sur l’identité des personnes et sur la véracité des faits) que l’inspiration des écrivains : dans Les nourritures terrestres (1897), André Gide évoque la promenade qu’il avait faite avec Paul Valéry en 1891 au Jardin des plantes de Montpellier et le souvenir du tombeau de Narcissa.

Cette légende donne également lieu à de nombreuses représentations, comme celle conservée au Musée du Vieux Montpellier (D2011.0.168).

Z comme Zuccarelli

Voir l'image en grand Jean Zuccarelli - D364Avocat et homme politique montpelliérain, Jean Zuccarelli (1901-1991) est maire de Montpellier de 1937 à 1941 sous l'étiquette radical-socialiste. Il prend la succesion de Paul Boulet dont il termine le mandat. Le vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain en juillet 1940 bouleverse le cours des événements et il est contraint de démissionner en janvier 1941.

Il sera réélu en 1953. On lui doit notamment la création d'une voie reliant la place de la Comédie par l'avenue Frédéric-Mistral à la rocade (1954), le lancement des constructions d'une gare routière à proximité de la gare SNCF (1955), du nouvel abattoir (1956-1958), du marché-gare (1958) et de logements sociaux (cité Gély, 1956).

Il est battu par François Delmas, un autre avocat, aux élections de 1959. 

A sa mort, le conseil municipal décide de lui rendre hommage en donnant son nom au pont alors en construction sur le Lez (31 janvier 1991).

Mairie de Montpellier

1, place Georges Frêche
34267 MONTPELLIER cedex 2

Tramway 1 et 3 arrêt Moularès Hôtel de ville
Tramway 4 arrêt Georges Frêche - Hôtel de Ville
Coord. GPS : 43°35'52"N, 3°52'39"E

04 67 34 70 00

Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 sauf le jeudi de 10h00 à 19h00

Horaires spécifiques des services accueillant du public

Contactez-nous en LSF ou par écrit